Sur la Viscosité de la justice…

       
          Cherche juge pour enquête sérieuse, prêt à risquer mutation dans le Larzac, à se salir les mains et pas que, prêt à étudier la face cachée de relations actives, passives, nocives, menus services entre ami(e)s.

        Etat des lieux : procédure de 14 années terminée  il y a peu (21 juin) dans l’édredon judiciaire par un verdict de cassation homérique. Se mêlent professionnels de la finance, cabinet d’avocats célèbres, cabinet d’experts non moins célèbres aux travaux stupéfiants, conseillé et intervenant externe relation de travail de l’expert, lui-même amené à intervenir professionnellement pour l’un des protagonistes dont l’avocat eut comme client l’autorité de tutelle responsable d’une procédure de conciliation… comme dans les vaudevilles, tout le monde se connait sauf… « le cocu », Feydeau n’a qu’ bien se tenir ; rajouter un zest de rétention d’informations, une gestion sur le fil de Chronos, des juges d’appel et de cassation se bornant à éluder sy-sté-ma-ti-que-ment les mêmes pièces essentielles au règlement du litige, (osant ad libitum ??) critiquer le doigt montrant les preuves plutôt que de considérer les preuves en elles-mêmes.

          Je rends hommage à mon adversaire de 14 années de combat judiciaire car, obtenir 2 jugements contradictoires avec les mêmes éléments de 2 affaires similaires tout en surfant sur l’élasticité temporelle d’une troisième affaire lui donnant tort relève du miracle de l’immaculée conception ;  ce miracle lui permet encore aujourd’hui de se soustraire d’un certain nombre d’obligations liées aux règles de l’autorité de la concurrence, de s’exonérer de lourdes sanctions et de justifications ; ce miracle lui permet toujours d’éviter les sanctions de son autorité de tutelle, L’AMF. Ah oui ! L’autorité de tutelle…circulez, il n y a rien à voir, elle gère…Déjà 3 ans d’attente sans réponse à mes questions écrites (recommandé avec A/R) d’une importance extrême puisque pendantes de cette même procédure en Appel, puis en Cassation…le temps d’effacer les empreintes sur l’arme du crime et de faire disparaitre les cadavres du placard (au choix, plaques d’égout ou rails de chemin de fer ?)… usure morale et financière. Encore Bravo ! Vous tenez votre victoire (à la Pyrrhus ???). Même si vous venez de vous débarrasser sans indemnités d’une fonction statutairement définie et créée par vous-même, comme un passeur se débarrasse de ses clandestins discrètement en pleine mer, avec l’absolution de l’AMF et de l’Autorité de la Concurrence, du juge d’appel et de Cassation, des cadavres flottent encore à la surface :
          - 2 tarifications différentes et indexés au seing d’une même catégorie d’intervenants depuis plus de 14 années avec un écart de prix de plus de…300%. Qu’est ce qui justifie une telle différence sinon la pièce maîtresse éludée d’une procédure perdue ? L’AMF et l’autorité de la concurrence vont elles continuer de garder le même  mutisme complice ayant servit à cautionner l’éradication de toute une catégorie de professionnels de la finance  ou alors, peuvent elles justifier juridiquement cette  différence ? Peuvent elles fournir l’état de l’avancement de leur enquête qui aboutit de fait à la spoliation depuis 14 ans de tout une catégorie d’intervenants ? (http://verbumthemisbis.blogspot.fr/----https://deontofi.com/comment-bercy-protege-euronext-des-enquetes-sur-ses-pratiques-anticoncurrentielles/)


          Ce procès pourrait avoir lieu 100 fois qu’il serait perdu de la même façon, question de marigot. J’ai perdu mon temps mon argent mon énergie et pire que tout, la foi en la justice de mon pays ; difficile de gagner un match en respectant les règles. Alors comprenez que les histoires de costards, d’emplois fictifs, de Modem et de moralisation ne sont que le trompe l’œil destiné à nous faire oublier que l’essentiel se joue ailleurs.
          

          Dans la vraie vie, le gagnant  maitrise le temps, les juridictions à tiroirs, la communication et surtout, une chose primordiale, un réseau... (selfies s’abstenir).
Pièces à disposition. 

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